L'impatience d'être un des petits grains de sable qui gripperont la machine.
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Mais que se passe t'il donc le deuxième lundi de chaque mois à 18h30, au 8 rue de la Course à Bordeaux ?
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Venez apporter votre grain de sel aux réunions mensuelles, qu'Attac 33 soit le reflet de nous tou·tes !
La prochaine rencontre aura lieu le lundi 13 juin.
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La lutte contre le Grand Projet Sud-Ouest (GPSO) continue !
Attac 33 participe aux collectifs qui s'opposent au projet de construction de 2 nouvelles lignes ferroviaires à grande vitesse (LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne) et des Aménagements Ferroviaires Sud de Bordeaux (AFSB) et Nord de Toulouse (AFNT). Le samedi 30 avril, Attac 33 participait ainsi à la Coordination interrégionale à Bordeaux qui a réuni 400 personnes pour revendiquer l'aménagement et l'amélioration des voies existantes comme l'unique choix pertinent et d'intérêt général.
Nouvelle action à ne pas manquer : le 4 juin, de 15h à 23h, le Collectif LGVNINA organise à Noaillan, en Sud-Gironde, une Journée Manifestive NON à la LGV, OUI aux TRANSPORTS du QUOTIDIEN.
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Sur la Clé des Ondes !
Ce mercredi 25 mai à 17h, Jean-Luc Gasnier interviendra dans l'émission AC Tonne pour parler de la situation politique en vue des législatives, de la présidence de Macron au conseil de l'UE, de l'article de Jean-Marie Harribey sur le sens du travail paru dans lignes d'Attac, et d'autres sujets d'actualité !
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// Des nouvelles des mobilisations et actions passées //
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Le mardi 3 mai à 20h, Attac 33 a rempli la salle du bar Le Lucifer à Bordeaux à l'occasion de son Quizz'Attac spécial Justice fiscale ! Merci à celles et ceux qui ont participé et au bar pour son accueil !
Si vous avez manqué la soirée et/ou que vous souhaitez approfondir vos connaissances, vous pouvez retrouver en ligne :
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No Bassaran !
Le 26 mars 2022, 7000 personnes s'étaient rassemblées dans les Deux Sèvres pour dire non aux méga-bassines.
Bonne nouvelle : ce mardi 17 mai, la Cour administrative d’appel de Bordeaux a annulé l’arrêté préfectoral d’autorisation de création de cinq bassines, dont trois à Cram-Chaban, une à La Laigne et une autre à La Grève-sur-Mignon (Charente-Maritime), près du Marais poitevin ! Elle a jugé toujours défaillante l’étude d’impact sur les milieux de ces réserves de substitution conçues pour l’irrigation agricole, censées stocker près de 1,6 million de m3 d’eau.
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Le billet de Jean-Luc Gasnier : Un débat escamoté
Alors que les signes de dérèglement climatique sont de plus en plus alarmants et que la sécheresse s’installe sur une bonne partie de la France, l’écologie déserte la campagne des élections législatives. La polémique sur le port du burkini dans les piscines de Grenoble et la problématique du pouvoir d’achat accaparent l’espace médiatique et mobilisent les commentateurs politiques. Ce sont autant de thèmes piégeants et diviseurs pour la NUPES et ses représentants.
Le burkini renvoie bien évidemment à cet islamo-gauchisme tant décrié qui imprégnerait certaines composantes de la gauche et qui constituerait une ligne de fracture indépassable au sein de la nouvelle coalition. C’est un puissant sujet de polémique et d’incompréhension pour un enjeu de société liliputien au regard du nombre de personnes concernées, et c’est donc une aubaine pour tous les adversaires de la NUPES qui ont à leurs côtés un journalisme instruisant en permanence tous les dossiers à charge.
La problématique du pouvoir d’achat qu’il conviendrait de revaloriser ou à tout le moins de maintenir peut certes être considéré comme un enjeu de justice sociale mais lorsqu’elle est posée de manière trop générale et indifférenciée, elle présente l’inconvénient de mettre également l’accent sur la relance de la consommation alors que pour une bonne partie de la population, il devrait avant tout être question de consommer moins et de consommer mieux. Les termes du débat sont ainsi faussés d’entrée et nous entraînent dans une voie périlleuse tant ils s’inscrivent a priori dans le cadre d’une économie de production et de croissance qui profite toujours aux plus riches et que le dernier rapport du GIEC remet justement en cause.
Ainsi par exemple, la hausse des minima sociaux ainsi que celle du SMIC et des petites pensions est une nécessité mais l’augmentation indifférenciée du point d’indice des fonctionnaires n’est probablement pas souhaitable car elle maintient voire accentue les inégalités de traitement dans la fonction publique alors qu’il est au contraire urgent de revaloriser préférentiellement les salaires de certaines catégories d’agents, notamment ceux qui se situent dans le bas de l’échelle indiciaire (dans l’enseignement et dans le milieu hospitalier par exemple)
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